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La leçon, Eugène Ionesco 31 janvier, 2009

Classé dans : Théâtre — maggymauve @ 23:10

41cfmy13aylss500.jpg La leçon…

Satire hilarante de l’enseignement.
Une élève se présente au domicile de son professeur, la bonne lui ouvre la porte.
Le professeur se montre d’abord très réservé, bégayant face à une élève sur d’elle.
Mais petit à petit l’élève se met à douter d’elle-même et les rôles s’inversent.
Le professeur la poussera à reconnaître que tout ce qu’elle a appris par cœur ne vaut rien puisqu’elle ne le comprend pas.
La bonne intervient à plusieurs reprises afin de calmer le professeur.
Le ton monte, il finit par poignarder son élève.
La bonne exaspérée aide le professeur à cacher le corps, un de plus.
La fin est similaire au début, une nouvelle élève se présente.
J’ai trouvé l’évolution dramatique très intéressante.

 

 
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Sentimento, Rebecca Dautremer/ Carl Norac

Classé dans : Jeunesse — maggymauve @ 23:06

51n7qe7s9xlss500.jpgSentimento…

Monsieur Stein a créé Sentimento, mais la marionnette prend vie avant qu’il ne l’ait terminé.
Mi-Pinocchio, mi-Frankenstein, ce triste pantin va partir à la découverte du monde.
Tour à tour, monstre puis clown, Sentimento est différent et ne trouve pas sa place.
Jusqu’à ce que Selma lui confie son secret.
Il finira tragiquement, mais peu importe, puisque quelqu’un lui a fait confiance.
Les magnifiques illustrations de Rebecca Dautremer donnent de la profondeur au texte à la fois poétique et mélancolique.

 

 
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Les loups, Emily Gravett.

Classé dans : Jeunesse — maggymauve @ 23:03

garrettloups.jpgLes loups…

Un lapin nous fait découvrir le pouvoir de certains livres sur ses lecteurs.
Alors qu’il lit un livre à valeur documentaire sur les loups, il découvre les griffes, la fourrure, les crocs. À la question : « Que mange les loups ? » la réponse est : « les lapins ». A force de croire tout ce qu’il lit, ce petit lecteur va s’apercevoir, trop tard, que le loup est bien réel.
Le lapin disparaît des illustrations. Il ne reste plus que la couverture du livre entièrement lacérée !!
Cependant l’auteur nous rassure, aucun lapin n’a réellement été mangé.
Les illustrations crayonnées sont d’une grande qualité. A force de croire tout ce qu’il lit, ce petit lecteur va s’apercevoir, trop tard, que le loup est bien réel.

 

 
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35 kilos d’espoir, Anna Gavalda 29 janvier, 2009

Classé dans : Jeunesse — maggymauve @ 1:08

2747006603.jpg35 kilos d’espoir…

Grégoire déteste l’école et ça depuis le premier jour. Cependant il est très doué pour les activités manuelles. Lui et Léon, son grand-père, adorent s’enfermer dans le cagibi pour bricoler. Grégoire souffre d’être à l’origine des disputes parentales.
L’affection que lui témoigne son grand père lui donnera la force de vaincre tous les obstacles, et d’intégrer un établissement technique.
Très touchant.

 

 
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Un ange avec des baskets, Moka

Classé dans : Jeunesse — maggymauve @ 1:03

394710030l.jpgUn ange avec des baskets…

Paul passe les vacances chez sa grand-mère avec sa sœur et ses cousins.
Étant le petit dernier, il est mis à l’écart par les plus grands, ce qui l’attriste beaucoup.
Paul trouve une porte entre deux mondes en faisant une rencontre surprenante dans la vieille abbaye. En effet, Rachel la fillette qu’il découvre en pleurs dans le cloître vit au Moyen-âge.
Elle est condamnée au bûché pour sorcellerie. Elle assimile Paul à un ange venu pour la secourir.
Paul prend très à cœur son rôle et va tout mettre en œuvre pour sauver Rachel, pour cela il devra faire preuve d’ingéniosité notamment pour convaincre et sollicité l’aide de ses cousins.

 

 
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Des vents contraires, Olivier Adam

Classé dans : Litterature — maggymauve @ 0:59

51q8d5covlss500.jpgDes vents contraires, Olivier Adam.

Un matin Sarah est partie travailler, mais n’est jamais rentrée.
A-t-elle été enlevée ? Est-elle encore en vie ? A-t-elle abandonnée Paul et les enfants pour un autre ? Avait-elle besoin de souffler un peu ? Autant de questions qui restent sans réponse.
Comment continuer à vivre avec autant d’incertitude et le vide laissé par la disparition de Sarah?
Paul et les enfants quittent Paris, pour la Bretagne où lui-même a grandi. La mer est une bouffée d’oxygène.
Clément, 9 ans, qui était un enfant si éveillé et rieur, n’est plus que l’ombre de lui même.
Manon, 4 ans, ne cesse de pleurnicher, réclamant sa maman.
Les nuits sont longues, mais Paul doit tenir le coup par amour pour ses enfants.
Le trio se serre les coudes.
Paul donne des leçons de conduite dans l’autoécole familiale.
Ces leçons vont mettre sur sa route Elise, Brehel, Justine comme autant d’âmes en peine.
Paul sera là pour chacun d’entre eux.

Cela commence par une citation de Philippe Djan, le parolier de Stefan Eischer, assurément tout pour me plaire.
« On ne refait pas sa vie,
On continue seulement,
On dort moins bien la nuit,
On écoute patiemment,
De la maison les bruits,
Du dehors l’effondrement. »

La mer est omniprésente comme souvent chez Olivier Adam.
Très beau roman, triste, toujours cette empathie pour les vies ordinaires dévastées.
« Bientôt la pluie allait s’abattre sur les maisons au coude à coude…, suspendues juste au-dessus, en lisière, marginales et fragiles menacées mais debout »

 

 
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La déclaration, Gemma Malley 22 janvier, 2009

Classé dans : Jeunesse — maggymauve @ 23:21

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La Déclaration

En 2140, les gens ne meurt plus et la terre est menacée de surpeuplement.
« La Déclarartion » est alors proclamée. Cette dernière interdit les naissances excepté si l’un des parents renonce à la vie éternelle.
Les enfants nés illégalement, nommés « les surplus », sont condamnés à vivre comme des esclaves.
C’est le cas D’Anna Covey, l’héroïne de Gemma Malley, qui accepte son sort avec soumission, jusqu’a ce que Peter apparraisse dans sa vie…

Réflexion sur l’immortalité et ses conséquences, sur la défence des libertés individuelles, sur l’affirmation de soi,ainsi que sur l’obsession de la société actuelle pour la jeunesse.

 

 
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Et tu te soumettras à la loi de ton père, Marie Sabine Roger

Classé dans : Jeunesse — maggymauve @ 23:17

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Et tu te soumettras à la loi de ton père…

A la maison tout est dogme. Elle craint son père.
Ce ne sont pas ses enfants mais ses disciples. Il ne les éduque pas, il les dresse, les rabaisse…
Sa religion se décline en interdits.
Histoire touchante d’une fillette en manque d’amour paternel, qui voudrait juste comprendre.
Depuis la mort de son petit frère handicapé, sa mère elle aussi se terre dans un silence qui n’en fini plus.
Mais un jour, elle aura la force de fuire, de vivre…

Roman ados dont le texte est d’une justesse.

 

 
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Juste la fin du monde, Jean Luc Lagarce

Classé dans : Théâtre — maggymauve @ 23:13

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Juste la fin du monde…

Un jeune homme retourne dans sa famille afin de l’informer de sa mort prochaine.
On assiste à des retrouvailles où l’on se dit l’amour à travers les querelles, les vieilles rancoeurs…
Il y a si longtemps que Louis est parti sans jamais regarder derrière lui, que son retour ne fait qu’échauffer les esprits.
Les vérités sont dites, avec pudeur pour certains, sans ménagement pour d’autres.
Mais Louis accepte, accuse les coups et repartira finalement sans leur dire que ses jours étaient comptés.

Jean Luc Lagarce est mort du Sida en 1995.
Non reconnu de son vivant pour son talent d’auteur, mais pour ses qualités de metteur en scène.
Il est entré dans le répertoire de la Comedie française avec cette pièce.

 

 
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Alabama Song, Gilles Leroy

Classé dans : Litterature — maggymauve @ 23:10

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Alabama Song…

Ce livre est une version romancée de la vie de Zelda, épouse de Scott Fitzgerald.
1919, Montgomery, Alabama. Petite fille d’un gouverneur et fille du juge, Zelda se moque des convenances.
Elle fume, danse, boit et refuse d’épouser un homme qu’elle n’aurait pas choisi.
Elle est très belle, fait tourner la tête des hommes et n’a pas froid aux yeux.
Elle rencontre Scott, bel aviateur qui s’est promis de devenir écrivain célèbre.
Zelda et Fitz vivent une passion et connaîtront une vie de fastes, de notoriété, d’excès.
Mais leur relation de couple se détériorera et le succès de Scott s’amenuisera.

La narration fait des allers-retours sur vingt ans de la vie de Zelda, entre sa vie fastueuse et ses internements en hôpital psychiatrique.
Selon Zelda, elle fut pour Scott bien plus qu’une simple muse, et l’accusera de l’avoir plagié.
Cependant la belle du Sud suivra son mari jusqu’à la folie.

Gilles Leroy nous dresse le récit poignant de cette femme insoumise et passionnée.

 

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